Le chantier du quai se déroule comme prévu. Jusqu’ici, l’entrepreneur respecte le calendrier. Il a terminé l’installation de nouvelles palplanches sur les façades intérieures. Les travaux cesseront temporairement à la fin octobre pour la période hivernale. Ils reprendront à la fin avril. À moins d’imprévus, le chantier sera terminé à la fin juillet 2020.

Par la suite, où l’équipement et les matériaux de l’entrepreneur sont actuellement installés, un stationnement destiné aux véhicules sera aménagé.

En parallèle, la Ville élabore le projet du banc de Carleton. Ce projet prévoit, entre autres, un aménagement de ce stationnement. La Ville souhaite tenir une rencontre publique pour présenter les esquisses d’aménagement au début de  l’hiver.

Jusqu’au 25 octobre les citoyens et les citoyennes de Carleton-sur-Mer peuvent voter pour déterminer les projets de leur choix parmi ceux qui ont été proposés au budget participatif.

Le vote est ouvert depuis la rencontre publique tenue au Quai des arts le 23 septembre dernier. Les porteurs de projets et le comité de pilotage municipal y ont présenté les projets ayant traversé l’étape d’analyse de faisabilité et pour lesquels les citoyens sont amenés à voter.

6 projets grand public et 2 projets jeunesse soumis au vote

Au total, huit porteurs de projet soumettent des idées au vote du public :

Volet grand public

  • Lysandre Boudreau Gaudet : forêts nourricières municipales;
  • Andrée-Anne et Dominique Cyr, Pétanque-sur-Mer : espace public « effet-mer » intergénérationnel et multifonctionnel;
  • Nicole Cyr : aménagement du trottoir de bois;
  • Élise Henry : parc à chiens;
  • Michel Landry : le micromusée de l’avenue du Phare;
  • Lise Vertefeuille : Mini-golf.

Volet jeunesse

  • Zachary Lavergne : terrain de balle-molle;
  • Alizée Rivière : piano public.

Ces projets sont présentés sur le site budgetparticipatifcarletonsurmer.com avec une illustration, une description, le nom du promoteur, l’estimation des coûts de réalisation et l’emplacement envisagé.

Le maire Mathieu Lapointe est content de voir la pertinence et la qualité des projets proposés. « C’est très réjouissant de sentir que les gens se mobilisent pour participer à l’amélioration de leur cadre de vie, dit-il. » Pour Antoine Audet, directeur général, dans cette expérience les porteurs de projets travaillent en collaboration avec l’équipe municipale. En effet, les participants s’approprient leurs projets, car ils ont l’occasion de faire des recherches pour développer leurs idées initiales et en faire des projets municipaux réalisables.

Les citoyens ont eu l’occasion d’exprimer leurs idées. « Le budget participatif suscite un bel intérêt depuis le début du processus au printemps, mentionne Mathieu Lapointe, au tour du public d’exprimer ses choix maintenant! ». Ce sont les porteurs de projets qui sont responsables promouvoir leur projet.

Comment voter

Jusqu’au 25 octobre, les citoyens résidant à Carleton-sur-Mer peuvent voter en ligne ou sur un formulaire disponible à l’hôtel de ville.

Les jeunes 12 à 16 ans votent pour le projet du volet jeunesse de leur choix et/ou les projets du volet grand public.

Dans le volet grand public, un système de pondération permet de choisir trois projets préférés selon un ordre de priorités (1er choix; 2e choix et 3e choix).

Le Budget participatif est un des chantiers de la planification stratégique présentée à la communauté en décembre 2018.

Le camping municipal est ouvert jusqu’au 13 octobre. Profitez des tarifs super avantageux!

Promotion basse saison

Plus de 20 % de rabais applicable sur les sites standards et en bord de mer.

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25 % de rabais applicable à un séjour de 7 nuitées consécutives et plus.

Des sites spacieux, des couleurs d’automne, des sentiers de randonnée, de bonnes tables et des couchers de soleil magnifiques… Tout est en place pour passer un séjour mémorable!

Photo : Sophie Audet

 

Lundi 23 septembre à 19 h au Quai des arts

Toute la communauté est invitée à une rencontre publique du budget participatif le lundi 23 septembre au studio du Quai des arts. Le comité de pilotage y présentera les projets qui ont traversé l’étape d’analyse de faisabilité et pour lesquels les citoyens seront amenés à voter. Le comité expliquera le processus de votation alors que les porteurs de projets répondront aux questions du public et des journalistes. À la suite de cette rencontre, le site budgetparticipatifcarletonsurmer.com présentera les projets avec une illustration, une description, le nom du promoteur, l’estimation des coûts de réalisation et l’emplacement envisagé. Les modalités de vote seront expliquées sur ce site et disponibles à l’hôtel de ville ainsi qu’à la bibliothèque municipale.

Période de vote du 23 septembre au 25 octobre

  • Les citoyens résidant à Carleton-sur-Mer sont invités à voter durant cette période. (Les propriétaires d’entreprises et de terrains vacants ne sont pas invités à voter.)
  • Les jeunes 12 à 16 ans votent pour le projet du volet jeunesse de leur choix et/ou les projets du volet grand public.

Dans le volet grand public, un système de pondération permet de choisir les trois projets préférés selon ses préférences :

  • 1er choix = 5 points
  • 2e choix = 3 points
  • 3e choix = 1 point

Le processus de vote sera expliqué à la rencontre publique et sur le site web. Les porteurs de projets sont responsables de faire la publicité de leur projet.

Mot du maire

Station balnéaire et sentiers de rando exceptionnels

Carleton-sur-Mer devient une destination touristique internationale de plus en plus courue. Le succès de l’offre touristique locale repose sur une formule avantageuse : un heureux mélange de paysages typiques de la région, des activités de plein air diversifiées, une offre culturelle remarquable, un choix de restaurants cosmopolites, une diversité de types d’hébergement ainsi qu’un accueil authentique. En plus des retombées économiques appréciées des commerçants, cette effervescence permet d’offrir de nombreux services municipaux et des infrastructures variées accessibles aux citoyens.

Pression accrue sur l’environnement

L’activité des visiteurs, comme celle des résidents, exerce toutefois une pression croissante sur l’environnement. Certains sites attirent la circulation grâce à leur panorama,  à la richesse de leur biodiversité ou à un accès facile à la plage. Notamment, les bancs de Saint-Omer, Laroque, et de Carleton ainsi que les parcs La Grande-Envolée, des Horizons et Germain-Deslauriers et la place du Vieux-Quai. Comme tous les lieux publics, ces sites doivent permettre à tous de profiter des attraits sur place. Ce privilège individuel atteint ses limites lorsqu’il entre en conflit avec les droits collectifs et la préservation de la nature. Par exemple, l’affluence de campeurs et des stationnements illégaux nuit à la salubrité et à la tranquillité des lieux. D’autant plus lorsque aucune installation sanitaire n’est disponible sur place, comme c’est le cas au banc de Saint-Omer. Des passants ont alors  l’impression de perdre leur espace public.

Ces usagers détériorent souvent la végétation essentielle mais fragile. En effet, la végétation freine l’érosion, qui constitue la principale menace de ces lieux tant appréciés.

Préservons nos lieux publics ensemble!

Devant l’excès de campeurs et de stationnements illégaux, la Ville agit avec discernement. Le mois dernier, des employés municipaux ont transmis plus de cent avertissements aux contrevenants, donnant parfois des constats d’infractions. La Ville souhaite responsabiliser les gens à la fragilité de la nature et à l’importance de maintenir les lieux propres et accessibles à tous. Cette démarche suit notre volonté de demeurer une ville accueillante et active.

En parallèle, en tant que résidents de Carleton-sur-Mer, nous devons nous aussi préserver l’environnement et maintenir la propreté des lieux publics. Bien qu’il y ait encore beaucoup de travail à faire, de plus en plus de gens prennent soin de stationner dans les zones de stationnement, en évitant d’aller sur l’herbe et dans l’élyme des sables, ou blé de mer.  Continuons de ramasser nos déchets. Ces petits gestes ont un impact majeur sur la préservation de nos sites exceptionnels.

Merci de contribuer à préserver nos formidables lieux publics!

Mathieu Lapointe, maire

Le photographe et historien Pierre Lahoud présente une causerie de son expérience sur les traces du photographe et aviateur Jacques de Lesseps. Rapprochant le passé et le présent, M. Lahoud clôt la saison des causeries à la pointe Tracadigash le 3 septembre prochain.

À l’époque, l’aviateur Jacques de Lesseps décrivait ainsi son survol de la Gaspésie : « Vous ne pouvez vous imaginer le magnifique et émouvant spectacle que l’on peut avoir dans les cieux de Gaspé. On aperçoit, à grande altitude, se déroulant au loin, les côtes gaspésiennes de la baie des Chaleurs aux nombreuses et profondes découpures et celles du nord plus abruptes et plus régulières. » À bord de l’avion de Gérard-R. Thériault, Pierre Lahoud a refait un tour aérien de la péninsule sur les traces de Jacques de Lesseps. Les 101 paysages photographiés en 1927 ont aussi conquis Lahoud, qui les a photographiées à son tour mais en couleur 90 ans plus tard.

« Avec la complicité de M. Thériault qui connaissait bien la région, j’ai survolé la péninsule durant de 2005 à 2010 pour réaliser ce projet », mentionne M. Lahoud. Le géographe Henri Dorion s’est joint à l’équipe pour interpréter l’évolution des paysages que la comparaison des photos révèle. Ce tour aérien de la péninsule sur les traces de Jacques de Lesseps est colligé dans le livre Paysages gaspésiens : De Lesseps 1927 – Lahoud 2017 paru aux Éditions GID en 2017.

L’Écomusée et la Ville de Carleton-sur-Mer clôturent donc la 19e saison estivale de causeries avec ce voyage historique du siècle dernier, à vol d’oiseau, le 3 septembre à 19 h à la pointe Tracadigash.

Historien et ardent défenseur du patrimoine et des paysages, Pierre Lahoud parcourt le territoire québécois depuis plus de 40 ans pour en inventorier les trésors cachés.

 

 

 

90 ans séparent les photos de Jacques de Lesseps et de Pierre Lahoud qui documentent les mêmes paysages gaspésiens.

 

 

 

 

À Carleton-sur-Mer, le camping est interdit dans les lieux publics. La protection de l’environnement et la quiétude des résidents représentent les principales raisons qui ont motivé la mise à jour du règlement en 2018.

Lors d’opérations conjointes avec la Sûreté du Québec depuis le début de l’été, la Ville a délivré plusieurs constats d’infraction à des personnes qui campaient illégalement sur son territoire. La majorité des contrevenants se trouvaient sur le banc de Saint-Omer. Or, le banc de Saint-Omer est un milieu fragile que la Ville souhaite préserver. C’est un habitat naturel d’une grande valeur pour la faune et la flore, entre autres.

Le règlement 2018-310 interdit de faire du camping sur les chemins publics, les places publiques et les plages. Quiconque  contrevient à ce règlement s’expose à une amende et à des frais totalisant 150 $.

Options pour camper à Carleton-sur-Mer

Lors des consultations publiques qui ont mené à la planification stratégique 2019-2024, la communauté a démontré un fort intérêt pour le journal municipal. C’est un outil efficace pour communiquer l’information à la population locale. Le Hublot est distribué une fois par mois par la poste dans les foyers de Carleton-sur-Mer. Le contenu du journal est aussi publié sur le site web de la Ville et annoncé dans une infolettre gratuitement. Il suffit d’avoir une adresse courriel pour s’abonner à cette infolettre.

40 ans d’actualité communautaire et municipale

La lecture du journal est ancrée dans nos mœurs depuis bientôt 40 ans! À Carleton, le maire André Landry avait demandé à Janot Leblanc de former un comité pour écrire un journal communautaire. Le premier numéro est paru en janvier 1980. Il s’est appelé Du coin de l’œil dès le 2e numéro. Des bénévoles écrivaient différents textes littéraires, de l’information communautaire et des anecdotes locales. Les gens pouvaient y voir le budget municipal. Une page était réservée aux élèves du primaire.

À Saint-Omer, le premier journal est issu d’une initiative de Margo Laviolette. Son comité de bénévoles produisait Le reflet aux 3 ou 4 mois. Le premier numéro est paru en mai 1992. On y trouvait de l’information sur les organismes communautaires, le budget municipal ainsi que de la littérature. L’école primaire était mise à contribution pour publier différents écrits.

Le premier numéro du journal Le Hublot est paru quant à lui en janvier 2014. C’est maintenant le personnel de la Ville qui produit le journal municipal.

Politique éditoriale

Au fil du temps, l’information publiée dans le journal local est devenue plus factuelle et le ton, plus journalistique. La ligne éditoriale permet d’informer les lecteurs sur l’actualité locale, telle que :

  • ce qui est à surveiller à Carleton-sur-Mer jusqu’à la prochaine parution du journal;
  • les dossiers de l’administration municipale;
  • la tribune du maire;
  • les avis publics;
  • les projets en cours dans le contexte des politiques Ville étudiantes, famille et aînés; culture et patrimoine ou sur le plan sportif;
  • les nouvelles qui sortent de l’ordinaire concernant des organisations ou entreprises locales;
  • les activités du mois courant des organismes sportifs, communautaires, culturels et socioéconomiques;
  • des chroniques sur l’histoire et l’environnement.

Dates de tombée et de parution

Le journal est distribué le vendredi qui suit la séance ordinaire du conseil municipal. Les organismes peuvent envoyer leurs textes et photos au plus tard le vendredi qui précède la séance du conseil, à l’adresse lehublot@carletonsurmer.com.

Pour connaître les dates de ces séances publiques, consultez Séances du conseil municipal.

Tout en bas de la page des Actualités, sont archivés les journaux des récentes années.

Bonne lecture!

Les 17 et 18 juin dernier, le comité ZIP Gaspésie a réalisé en partenariat avec la Ville  une recharge de plage à l’entrée du banc de Saint-Omer. En 2 jours, plus de 1500 m3 de sable, soit 200 voyages de camion, ont été étalés. Cet ouvrage permet de freiner l’érosion du secteur afin de protéger l’accès  au banc de Saint-Omer.

Par la suite, les 29 et 30 juin, plusieurs dizaines de bénévoles se sont relayés pour planter plus de 7000 pousses d’élymes des sables ainsi qu’une centaine de plants de rosiers sauvages et de gesses maritimes sur une surface d’environ 300 m². Ces plantes indigènes sont utiles au maintien du site, car elles retiennent les sédiments et ralentissent l’érosion.

Afin de maintenir l’efficacité de la recharge, il est très important de ne pas piétiner la végétation et de ne pas circuler sur la recharge elle-même.

La collaboration des résidents comme des visiteurs est primordiale. Respecter la signalisation mise en place pour la préservation du site permettra à tous de continuer de profiter du  site pour prendre une pause dans un décor enchanteur.

 

Le 10 juin dernier se tenait une rencontre publique concernant le banc de Carleton à la salle Charles-Dugas. Une soixantaine de personnes ont participé à l’événement, qui était animé par le maire Mathieu Lapointe et Alain Bernier, directeur du développement économique et du tourisme.

Les échanges ont porté principalement sur :

  • le transport actif;
  • l’accès au banc sous forme d’expérience sensorielle;
  • l’augmentation de l’offre touristique;
  • la qualité de vie des citoyens;
  • la préservation de la biodiversité;
  • l’empreinte écologique;
  • l’accès à la zone portuaire;
  • la préservation du milieu;
  • la mise en valeur et l’accessibilité du chalutier le Karabudja et du site de la cabane à Eudore;
  • l’établissement d’un lien entre les deux bancs.

La conception de l’aménagement du banc de Carleton a été confiée à Pesca environnement. Une présentation publique du projet aura lieu l’hiver prochain.