Carleton-sur-Mer pourra offrir un véhicule électrique en autopartage d’ici 2020 grâce au projet SAUVéR (système d’autopartage avec véhicule électrique en région). La Ville a été sélectionnée pour joindre les rangs des 16 municipalités participantes au Québec.

Grâce à ce projet innovateur, la Ville de Carleton-sur-Mer acquerra un deuxième véhicule électrique, mettra en place un système de gestion de l’autopartage et aménagera une première station-service électrique (SSé) évolutive en Gaspésie. Les employés municipaux utiliseront ce véhicule au travail et l’automobile, lorsqu’elle sera disponible, sera à la disposition de la collectivité.

Le coût du projet est estimé à 116 000 $, dont 41 000 $ est financé par la Ville et 75 000 $, par le gouvernement fédéral.

Pour le maire, Mathieu Lapointe, les municipalités jouent un rôle déterminant face aux changements climatiques. « Elles pavent la voie en matière de solutions novatrices, dit-il. Carleton-sur-Mer est fière de réaliser ce projet visant à bâtir des collectivités plus durables et plus résilientes. Nous souhaitons agir afin de réduire nos impacts environnementaux le plus possible. Partager un véhicule municipal avec les citoyens, c’est un geste concret et mobilisateur, qui s’inscrit dans notre volonté de développer la mobilité durable de nos citoyens et citoyennes. »

AMÉLIORER LE TRANSPORT POUR AGIR SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

Le Projet SAUVéR oeuvre pour électrifier les transports afin d’apporter des solutions face à trois grands enjeux :

1. Intégrer des véhicules électriques dans les flottes municipales et dans les communautés.

2. Optimiser l’utilisation de véhicules électriques dans les flottes municipales.

3. Aménager des SSé pour créer une route électrique verte.

Investir dans les infrastructures respectueuses de l’environnement aide les collectivités à réduire leur empreinte carbone et à augmenter leur résilience aux changements climatiques. Cela permet aussi de préserver la santé publique, de protéger l’environnement et de créer une économie axée sur la croissance écologique.

La forme d’autopartage privilégiée dans le projet SAUVéR fait partie des solutions d’avenir. Comme modèle de transport collectif, il contribue à briser l’isolement, à maintenir l’autonomie des aînés ainsi qu’à l’intégration des personnes à mobilité réduite. Selon M. Lapointe, « un système de transport collectif fonctionnel permet d’augmenter le taux de rétention de la population en région et améliore l’attractivité des municipalités ».

Le projet ainsi que les systèmes SAUVéR et SSé ont été conçus par la firme YHC Environnement. C’est la Société d’innovation en environnement qui gère le projet.

La phase des préparatifs du chantier du quai est terminée et l’entrepreneur a démarré les travaux de reconstruction. Déjà, les ouvriers ont démantelé le feu de navigation, communément appelé la « light ». À la fin des travaux, un nouveau feu sera installé à l’extrémité du futur brise-lames.

CALENDRIER PRÉLIMINAIRE

Le ministère des Pêches et Océans prévoit un calendrier de réalisation selon la séquence des travaux qui suit. Des modifications peuvent être apportées à cet horaire  :

D’ICI LA FIN JUIN 2019

  • enrochement de l’extrémité du quai;
  • construction du brise-lames;
  • construction de la façade verticale en bois sur le côté externe du quai. Cette section sera réservée à la pêche récréative et sera cédée à la Ville à la fin des travaux en même temps que l’extrémité;
  • enrochement de la partie restante de la façade externe du quai, jusqu’à l’angle;

ÉTÉ

  • reconstruction des façades internes du quai, côté marina.  Il s’agit de planter de nouvelles palplanches à 1,5 m des anciennes;
  • apposition d’un produit de protection sur les façades en palplanches situées de chaque côté du début du quai, avant l’angle;

AUTOMNE

  • abaissement partiel et reconstruction du tablier, électricité, eau, équipements, accessoires, entre autres;

PRINTEMPS 2020

  • période prévue pour terminer certains travaux.

USAGE RESTREINT AUX PÊCHEURS COMMERCIAUX

Le quai sera donc une zone de chantier durant toute l’année 2019, incluant la période estivale. La circulation des piétons et des véhicules sera interdite sur le quai, sauf pour les pêcheurs commerciaux.

ACCÈS AUX INFRASTRUCTURES À PROXIMITÉ

Bien que la circulation de la machinerie lourde se poursuivra durant la saison touristique, les accès à la marina et au site de la cabane à Eudore seront maintenus, de même que l’usage de la piste cyclable. La collaboration de tous les usagers sera utile pour veiller à la sécurité des travailleurs, comme des résidents et des visiteurs.

En décembre dernier, l’institut de la statistique du Québec (ISQ) publiait son indice de vitalité économique pour l’ensemble des municipalités du Québec. À la lecture du rapport, j’étais heureux de constater que Carleton-sur-Mer est la municipalité qui a le plus haut indice de vitalité économique dans notre région. Pour calculer cet indice, L’ISQ se base sur le taux de travailleurs, le revenu médian de la population et l’évolution démographique.

La Ville, les commerçants, les organismes et les citoyens travaillent très fort pour rendre notre milieu de vie dynamique et attrayant, pour stimuler le développement économique, culturel et social. Force est de constater que ces efforts portent fruit! Avec la planification stratégique, nous allons poursuivre le travail afin de faire en sorte que Carleton-sur-Mer se démarque comme une communauté vivante, active et authentique.

Le dynamisme des gens d’affaires était palpable au lancement de Vi Kombucha en juillet dernier à la brûlerie du Quai, avec Chope-sur-Mer et le fumoir Indian Bay. Photo : Vi Kombucha

 

Bien que cette nouvelle soit positive pour notre ville, il faut se rappeler que la région de la Gaspésie et les Îles se classe malheureusement en queue de peloton à l’échelle du Québec. Les défis sont de taille et c’est ensemble que les municipalités et les MRC de la région doivent s’y attaquer.

Mathieu Lapointe, maire

Le 11 février à 12 h 45, afin de lancer les Journées de la persévérance scolaire sur un élan de complicité, les partenaires  de la Politique Ville étudiante se rassembleront avec des élèves pour faire une levée de drapeau à l’école Antoine-Bernard.

Cette année, les Journées de la persévérance scolaire se déroulent du 11 au 15 février sous le thème Nos gestes, un + pour leur réussite! Cette thématique vise à illustrer la force de l’addition d’une multitude de gestes, à la portée de tous, qui peuvent faire une réelle différence dans la réussite des jeunes et dans le développement de leur plein potentiel, pour les tout-petits comme pour les grands!

La semaine des enseignants s’ensuivra, c’est pourquoi nous souhaitons souligner le bon travail de ces derniers, mais également de tout le personnel de soutien œuvrant au sein de l’éducation!

La Ville de Carleton-sur-Mer et le Conseil des arts et des lettres du Québec sont partenaires afin de permettre la naissance de projets de création comme celui d’Ada et la sandale de mer. L’auteure France Cayouette a trouvé sur la grève une petite sandale orpheline qui a fait germer le début d’une histoire.  Ce projet rapprochera l’auteure de l’enfance pour écrire un premier livre jeunesse, dont la tonalité sera poétique. Le projet se réalise en effet avec les élèves de 3e, 4e et 5e année de l’école Bourg.

Ces enfants participeront à l’écriture en se penchant sur le déroulement de l’histoire. Les élèves pourront donc vivre un processus de création littéraire et explorer les thèmes de l’ouverture à l’autre, de la beauté et de la fantaisie. Ils seront aussi amenés à poser un regard poétique sur leur environnement, l’histoire se déroulant dans plusieurs sites évocateurs de Carleton-sur-Mer. L’auteure Christiane Duchesne accompagnera France Cayouette, qui effectuera des résidences de création à la bibliothèque Gabrielle-Bernard-Dubé. Le public peut suivre l’évolution du projet sur la page Facebook de France Cayouette et dans Le Hublot. Le tout sera clôturé en juin par la diffusion publique des créations littéraires et visuelles réalisées par les élèves ainsi que par la lecture vivante de la version de Mme Cayouette.

Pascal Alain, directeur loisirs, culture et vie communautaire

Transports Québec a installé une nouvelle signalisation en face de l’hôtel de ville. Le stationnement est dorénavant interdit du côté sud de la route 132 dans le secteur du restaurant Subway et des magasins Rossy et André-Landry. La nouvelle directive permettra d’améliorer la sécurité des usagers de la route dans ce secteur. Après quelques semaines de sensibilisation, la Sûreté du Québec émettra des billets d’infraction.

La Ville améliore la signalisation sur la rue de la Montagne dans le secteur du fer à cheval afin que tous les véhicules puissent circuler en sécurité. Nous en appelons à la collaboration des usagers afin de maintenir ce secteur accessible à la pratique de leurs activités, tout en favorisant un environnement sécuritaire.

ZONE EN BLEU : STATIONNEMENT DE VÉHICULE AUTOMOBILE PERMIS

  • Se stationner le plus près possible bord de la rue en laissant une voie et demie libre à la circulation.
  • Éviter de se stationner avec une remorque.
  • Le stationnement des véhicules du côté sud de la rue et en amont de l’entrée privée (301, rue de la Montagne) est interdit en tout temps.
  • Garder cette zone libre en tout temps afin que les véhicules de services publics comme les déneigeuses, le camion de pompier et les autobus puissent circuler librement et rebrousser chemin.

ZONE EN ROUGE : STATIONNEMENT INTERDIT

La collaboration de chacun pour respecter les zones prescrites permettra d’améliorer la sécurité des usagers de la montagne, des résidents et des personnes qui fournissent les services publics.

Ce dimanche 13 janvier, ça va bouger au centre de plein air Les Arpents verts. Tout d’abord, pour les adeptes de ski de fond, le centre reçoit la première course de la Coupe Sports Experts 2019! Cette compétition amicale s’adresse à tous les passionnés de la glisse, petits et grands! Les inscriptions se font sur place dès 9 h et les premiers départs sont prévus à 10 h. Coût individuel : 5 $,  familial : 10 $. Information auprès de Nadia Caissy au 364-7988.

De plus, dès 13 h, vous êtes conviés à un après-midi d’activités afin de célébrer l’hiver aux Arpents verts. À cette occasion, l’accès aux pistes sera gratuit! Vous êtes invités à venir déguster des bouchées pour découvrir le nouveau menu de la concession opérée cette année par la Corporation du mont Saint-Joseph. Venez bouger en compagnie de Bouge pour que ça bouge, dès 14 h 30, avec des activités d’animation extérieures. Une glissade au flambeau et d’autres surprises vous y attendent.

Bienvenue à toutes et à tous!

PROGRAMME DES ACTIVITÉS

9 h      Inscription à la Coupe Sports Experts

10 h   1ers départs de la course

13 h    Activités hivernales, bouchées dégustation du nouveau menu

14 h 30 Animation avec Bouge pour que ça bouge

Glissade au flambeau à la tombée du jour.

Événement Facebook…

Pascal Alain, directeur loisirs, culture et vie communautaire

Une étape importante vient d’être franchie dans le dossier du quai : le ministère des Pêches et Océans Canada (MPO) a confié le mandat de construction du quai aux Entreprises PEC, une entreprise de la Baie-des-Chaleurs, à un coût de 9,3 M$. Le montant est inférieur à ce que la Ville avait déjà présenté, mais le projet demeure le même. Cela s’explique ainsi :

  • Au tout début du projet, la Ville avait estimé un coût de réalisation global à 23 M$. À l’époque, la Ville prévoyait être responsable des travaux;
  • Le MPO est désormais le maître d’œuvre. Ainsi, le ministère a pris en charge différents frais, notamment les plans d’ingénierie, l’arpentage, le notariat, le contrôle de la qualité, les études d’impact, les compensations environnementales et les taxes. Ces réalisations sont restées dans le projet global, mais n’apparaissent pas dans les coûts de construction.  Il faut distinguer coût de réalisation et coût de construction;
  • Le contrat de construction octroyé aux entreprises PEC exclut l’achat du bois nécessaire à la construction de la façade verticale dédiée à la pêche récréative et à une partie du tablier du quai. Le MPO fournira ce matériau à l’entrepreneur par l’entremise d’un appel d’offres distinct.

En somme, ces modifications se traduisent par des économies substantielles dans le coût de construction par rapport au coût de projet global et c’est, en grande partie, ce qui explique que les 7 soumissions déposées au MPO aient varié entre 9,3 M$ et 16 M$.

La phase récréotouristique
Maintenant que la réalisation du projet du MPO est enclenchée, la Ville va, comme prévu, travailler à terminer le volet récréotouristique du secteur portuaire. De son côté, le Club nautique pourra élaborer son projet de réaménagement de la marina grâce à l’ajout du brise-lames. Avec de telles infrastructures, Carleton-sur-Mer deviendra un véritable pôle maritime régional.

Le chantier
Le vaste chantier qui débutera bientôt aura un impact ressenti par les usagers du quai. La Ville va discuter avec l’entrepreneur afin de réduire cet impact le plus possible. Les entreprises PEC prévoient s’installer au cours des prochains jours, de façon à débuter les travaux à la fin janvier. Selon l’appel d’offres, les travaux doivent se terminer au plus tard en juillet 2020. Afin d’accommoder l’entrepreneur durant les travaux, la Ville lui a loué un terrain à proximité du quai.

Ville de Carleton-sur-Mer

La Ville de Carleton-sur-Mer invite les citoyens et les citoyennes à assister au lancement du budget participatif lors d’une rencontre publique le mardi 23 avril prochain à 19 h au Quai des arts. Événement Facebook.

« Le citoyen est au cœur de la vie municipale, affirme le maire Mathieu Lapointe. C’est pourquoi le conseil municipal de Carleton-sur-Mer invite cet acteur de premier plan à participer à de nouveaux projets avec le budget participatif. » Cette démarche permet aux décideurs de mieux connaître et répondre aux besoins de la communauté.

La rencontre publique présentera les étapes du processus. L’équipe municipale sera sur place pour informer les citoyens sur les critères de recevabilité et les modalités de participation.

Dans un processus de démocratie participative, ce budget permet aux citoyens d’affecter une partie du budget municipal à deux projets d’investissement : un pour les citoyens et un pour les jeunes. «  Le budget participatif, c’est aussi un processus éducatif, précise le directeur général, Antoine Audet, loin d’exclure les élus et les professionnels, il va plutôt inclure le citoyen dans l’équipe municipale. »

Le budget participatif est un projet qui s’inscrit dans un des chantiers de la planification stratégique présentée à la communauté en décembre dernier.