Chaque geste est un plus pour leur réussite

La Ville s’est jointe au mouvement de mobilisation québécois, encore cette année, afin de valoriser l’ensemble des gestes posés par tous les membres de notre société et qui favorisent la réussite éducative des jeunes, des plus petits aux plus grands! Par ce geste symbolique, la Ville a voulu démontrer son appui envers les jeunes de la région.

Ville étudiante

Des établissements scolaires de niveaux primaire, secondaire et collégial se trouvent sur le territoire de la ville, de même qu’un centre de recherche et d’aide au développement durable, un centre de formation professionnelle et des services de formation continue. Des services complémentaires sont aussi fournis à la clientèle jeunesse. Si bien que la Ville a adopté une politique Ville étudiante en 2016 ainsi qu’un plan d’action triennal afin que des actions concrètes soient réalisées pour améliorer la qualité de vie des élèves. Un deuxième plan d’action triennal (2019-2021) est en cours d’élaboration. Des consultations sont prévues en vue de se doter d’un plan fidèle aux besoins et aux attentes des étudiants.

Plusieurs intervenants du milieu scolaire étaient présents pour la levée symbolique du drapeau de la persévérance scolaire : Pascal Alain, directeur loisirs, culture et vie communautaire à la Ville de Carleton-sur-Mer; Mathieu Lapointe, maire; Yves Porlier, directeur de l’école Antoine-Bernard; Monia Mercier, directrice de l’école Bourg; Lise Bourg, technicienne en loisir au campus collégial ainsi que David Fath, animateur de vie spirituelle et d’engagement communautaire.

Le conseil municipal de Carleton-sur-Mer adhère aux principes de la déclaration citoyenne universelle d’urgence climatique (DUC).  La Ville souhaite contribuer à réduire son empreinte écologique et encourage les citoyens à participer.

Carleton-sur-Mer emboîte le pas à plus de 200 municipalités québécoises qui ont pris cet engagement moral. Par leurs activités, les municipalités contribuent à l’émission de gaz à effet de serre (GES) et peuvent adapter leurs pratiques pour réduire cette production au minimum.

« Nous avons le devoir d’agir pour réduire notre empreinte écologique et nous avons choisi de le faire! En plus de signer la déclaration et d’avoir formé un chantier de travail sur l’empreinte environnementale et les changements climatiques, la Ville s’engage à mettre en œuvre plusieurs actions concrètes en 2019 afin de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. »

Différentes actions mises en oeuvre

Dans le contexte de sa planification stratégique, la Ville a identifié des actions qui seront mises en œuvre dès 2019 pour réduire l’empreinte écologique sur le territoire. Par exemple, l’équipe municipale dressera un bilan de ses émissions de GES. Elle élaborera de plus un plan d’adaptation aux changements climatiques, axé sur le phénomène d’érosion des berges, en compagnie de trois autres villes de la région et avec le soutien du CIRADD.

Autres exemples, sur le plan de la mobilité durable, la Ville projette de prolonger les pistes cyclables et voies piétonnières. Elle développe un système d’autopartage en parallèle avec l’acquisition d’un deuxième véhicule électrique et l’aménagement d’une station de service électrique. La Ville souhaite aussi augmenter l’adoption de pratiques respectueuses de l’environnement dans les aménagements municipaux, comme des stationnements avec des surfaces naturelles, un système d’éclairage au DEL et des espaces tondus plus restreints. Pour veiller à l’économie d’eau potable, la Ville prévoit distribuer des trousses d’économie d’eau, mettre en place des douches payantes au camping et réduire l’usage de bouteilles d’eau jetables. En outre, la Ville adhère au programme Ici on recycle.

Parmi les actions envisagées, la Ville souhaite augmenter l’adoption de pratiques respectueuses de l’environnement dans les aménagements municipaux et mise, entre autres, sur les voies piétonnières.

Déclatation citoyenne universelle d’urgence climatique

Le mouvement mondial de la DUC a été lancé par GroupMobilisation dans un but de mobiliser les citoyens à agir sur le bouleversement climatique qui menace la santé publique, l’économie, la biodiversité et la sécurité nationale et internationale. Selon cette déclaration, les gaz à effet de serre proviennent notamment de l’industrie, des transports et de l’agriculture.

Carleton-sur-Mer pourra offrir un véhicule électrique en autopartage d’ici 2020 grâce au projet SAUVéR (système d’autopartage avec véhicule électrique en région). La Ville a été sélectionnée pour joindre les rangs des 16 municipalités participantes au Québec.

Grâce à ce projet innovateur, la Ville de Carleton-sur-Mer acquerra un deuxième véhicule électrique, mettra en place un système de gestion de l’autopartage et aménagera une première station-service électrique (SSé) évolutive en Gaspésie. Les employés municipaux utiliseront ce véhicule au travail et l’automobile, lorsqu’elle sera disponible, sera à la disposition de la collectivité.

Le coût du projet est estimé à 116 000 $, dont 41 000 $ est financé par la Ville et 75 000 $, par le gouvernement fédéral.

Pour le maire, Mathieu Lapointe, les municipalités jouent un rôle déterminant face aux changements climatiques. « Elles pavent la voie en matière de solutions novatrices, dit-il. Carleton-sur-Mer est fière de réaliser ce projet visant à bâtir des collectivités plus durables et plus résilientes. Nous souhaitons agir afin de réduire nos impacts environnementaux le plus possible. Partager un véhicule municipal avec les citoyens, c’est un geste concret et mobilisateur, qui s’inscrit dans notre volonté de développer la mobilité durable de nos citoyens et citoyennes. »

AMÉLIORER LE TRANSPORT POUR AGIR SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

Le Projet SAUVéR oeuvre pour électrifier les transports afin d’apporter des solutions face à trois grands enjeux :

1. Intégrer des véhicules électriques dans les flottes municipales et dans les communautés.

2. Optimiser l’utilisation de véhicules électriques dans les flottes municipales.

3. Aménager des SSé pour créer une route électrique verte.

Investir dans les infrastructures respectueuses de l’environnement aide les collectivités à réduire leur empreinte carbone et à augmenter leur résilience aux changements climatiques. Cela permet aussi de préserver la santé publique, de protéger l’environnement et de créer une économie axée sur la croissance écologique.

La forme d’autopartage privilégiée dans le projet SAUVéR fait partie des solutions d’avenir. Comme modèle de transport collectif, il contribue à briser l’isolement, à maintenir l’autonomie des aînés ainsi qu’à l’intégration des personnes à mobilité réduite. Selon M. Lapointe, « un système de transport collectif fonctionnel permet d’augmenter le taux de rétention de la population en région et améliore l’attractivité des municipalités ».

Le projet ainsi que les systèmes SAUVéR et SSé ont été conçus par la firme YHC Environnement. C’est la Société d’innovation en environnement qui gère le projet.

La phase des préparatifs du chantier du quai est terminée et l’entrepreneur a démarré les travaux de reconstruction. Déjà, les ouvriers ont démantelé le feu de navigation, communément appelé la « light ». À la fin des travaux, un nouveau feu sera installé à l’extrémité du futur brise-lames.

CALENDRIER PRÉLIMINAIRE

Le ministère des Pêches et Océans prévoit un calendrier de réalisation selon la séquence des travaux qui suit. Des modifications peuvent être apportées à cet horaire  :

D’ICI LA FIN JUIN 2019

  • enrochement de l’extrémité du quai;
  • construction du brise-lames;
  • construction de la façade verticale en bois sur le côté externe du quai. Cette section sera réservée à la pêche récréative et sera cédée à la Ville à la fin des travaux en même temps que l’extrémité;
  • enrochement de la partie restante de la façade externe du quai, jusqu’à l’angle;

ÉTÉ

  • reconstruction des façades internes du quai, côté marina.  Il s’agit de planter de nouvelles palplanches à 1,5 m des anciennes;
  • apposition d’un produit de protection sur les façades en palplanches situées de chaque côté du début du quai, avant l’angle;

AUTOMNE

  • abaissement partiel et reconstruction du tablier, électricité, eau, équipements, accessoires, entre autres;

PRINTEMPS 2020

  • période prévue pour terminer certains travaux.

USAGE RESTREINT AUX PÊCHEURS COMMERCIAUX

Le quai sera donc une zone de chantier durant toute l’année 2019, incluant la période estivale. La circulation des piétons et des véhicules sera interdite sur le quai, sauf pour les pêcheurs commerciaux.

ACCÈS AUX INFRASTRUCTURES À PROXIMITÉ

Bien que la circulation de la machinerie lourde se poursuivra durant la saison touristique, les accès à la marina et au site de la cabane à Eudore seront maintenus, de même que l’usage de la piste cyclable. La collaboration de tous les usagers sera utile pour veiller à la sécurité des travailleurs, comme des résidents et des visiteurs.

En décembre dernier, l’institut de la statistique du Québec (ISQ) publiait son indice de vitalité économique pour l’ensemble des municipalités du Québec. À la lecture du rapport, j’étais heureux de constater que Carleton-sur-Mer est la municipalité qui a le plus haut indice de vitalité économique dans notre région. Pour calculer cet indice, L’ISQ se base sur le taux de travailleurs, le revenu médian de la population et l’évolution démographique.

La Ville, les commerçants, les organismes et les citoyens travaillent très fort pour rendre notre milieu de vie dynamique et attrayant, pour stimuler le développement économique, culturel et social. Force est de constater que ces efforts portent fruit! Avec la planification stratégique, nous allons poursuivre le travail afin de faire en sorte que Carleton-sur-Mer se démarque comme une communauté vivante, active et authentique.

Le dynamisme des gens d’affaires était palpable au lancement de Vi Kombucha en juillet dernier à la brûlerie du Quai, avec Chope-sur-Mer et le fumoir Indian Bay. Photo : Vi Kombucha

 

Bien que cette nouvelle soit positive pour notre ville, il faut se rappeler que la région de la Gaspésie et les Îles se classe malheureusement en queue de peloton à l’échelle du Québec. Les défis sont de taille et c’est ensemble que les municipalités et les MRC de la région doivent s’y attaquer.

Mathieu Lapointe, maire

Le 11 février à 12 h 45, afin de lancer les Journées de la persévérance scolaire sur un élan de complicité, les partenaires  de la Politique Ville étudiante se rassembleront avec des élèves pour faire une levée de drapeau à l’école Antoine-Bernard.

Cette année, les Journées de la persévérance scolaire se déroulent du 11 au 15 février sous le thème Nos gestes, un + pour leur réussite! Cette thématique vise à illustrer la force de l’addition d’une multitude de gestes, à la portée de tous, qui peuvent faire une réelle différence dans la réussite des jeunes et dans le développement de leur plein potentiel, pour les tout-petits comme pour les grands!

La semaine des enseignants s’ensuivra, c’est pourquoi nous souhaitons souligner le bon travail de ces derniers, mais également de tout le personnel de soutien œuvrant au sein de l’éducation!

La Ville de Carleton-sur-Mer et le Conseil des arts et des lettres du Québec sont partenaires afin de permettre la naissance de projets de création comme celui d’Ada et la sandale de mer. L’auteure France Cayouette a trouvé sur la grève une petite sandale orpheline qui a fait germer le début d’une histoire.  Ce projet rapprochera l’auteure de l’enfance pour écrire un premier livre jeunesse, dont la tonalité sera poétique. Le projet se réalise en effet avec les élèves de 3e, 4e et 5e année de l’école Bourg.

Ces enfants participeront à l’écriture en se penchant sur le déroulement de l’histoire. Les élèves pourront donc vivre un processus de création littéraire et explorer les thèmes de l’ouverture à l’autre, de la beauté et de la fantaisie. Ils seront aussi amenés à poser un regard poétique sur leur environnement, l’histoire se déroulant dans plusieurs sites évocateurs de Carleton-sur-Mer. L’auteure Christiane Duchesne accompagnera France Cayouette, qui effectuera des résidences de création à la bibliothèque Gabrielle-Bernard-Dubé. Le public peut suivre l’évolution du projet sur la page Facebook de France Cayouette et dans Le Hublot. Le tout sera clôturé en juin par la diffusion publique des créations littéraires et visuelles réalisées par les élèves ainsi que par la lecture vivante de la version de Mme Cayouette.

Pascal Alain, directeur loisirs, culture et vie communautaire

Transports Québec a installé une nouvelle signalisation en face de l’hôtel de ville. Le stationnement est dorénavant interdit du côté sud de la route 132 dans le secteur du restaurant Subway et des magasins Rossy et André-Landry. La nouvelle directive permettra d’améliorer la sécurité des usagers de la route dans ce secteur. Après quelques semaines de sensibilisation, la Sûreté du Québec émettra des billets d’infraction.