Cet automne et l’hiver prochain, Carleton-sur-Mer offrira gratuitement différentes activités physiques et culturelles aux personnes aînées. Un service de transport adapté gratuit favorisera également la participation des aînés qui n’ont pas de véhicule, qui vivent avec des limitations financières ou autres.

Le programme détaillé sera posté dans tous les foyers!

Vous connaissez une personne aînée qui pourrait bénéficier de ces activités? Communiquez avec Laurie Gallagher pour avoir de l’information : loisir@carletonsurmer.com 418 364-7073 p. 234.

Afin de réaliser ces activités, Carleton-sur-Mer a obtenu une aide financière de 10 000 $ d’Espace Muni, soutenu par le gouvernement du Québec, en répondant à l’appel de projets Les saines habitudes de vie : pour une santé globale des personnes aînées dans le contexte de pandémie.

Ces personnes s’investissent pour développer et maintenir des compétences essentielles à leur métier. Nous sommes privilégiés de pouvoir compter sur leur service professionnel.

Officier municipal en bâtiment et en environnement

Samuel Landry, responsable de l’urbanisme, a récemment obtenu le diplôme d’officier municipal en bâtiment et en environnement, concentration environnement. Décerné par la Corporation des officiers municipaux en bâtiment et en environnement du Québec, ce diplôme est une reconnaissance orientée vers des services municipaux actuels et de qualité en urbanisme et en gestion du territoire.

Les pompiers de la caserne 79

Le service incendie a remis des diplômes aux pompiers qui ont terminé des formations ces derniers mois.

  • Pompier 1 (255 h) et matières dangereuses opérations (30 h) : Éric Guénette, Mario Levesque et Miguel Landry;
  • Autosauvetage (20 h) : Pascal Berthelot, Marc Côté, Renaud Lebreux, Pierre Beaulé, Mathieu Leclerc, Gaétan Litalien;
  • Désincarcération (30 h) : Marc Côté et Joël Bérubé;
  • Officier non urbain et recherche des causes et circonstances des incendies (90 h) : Patrick Lallement, Marc Côté et Joël Bérubé;
  • Instructeur 1 (45 h) : Marc Côté et Joël Bérubé;
  • Officier 1 (150 h) : Marc Côté et Joël Bérubé.

Photo : Pierre Beaulé, directeur sécurité publique et incendie; Joël Bérubé; Renaud Lebreux; Patrick Lallemand; Marc Côté; Pascal Berthelot; Gaétan Litalien; Mathieu Leclerc.

Après plusieurs mois de travail, la Ville de Carleton-sur-Mer est fière d’annoncer le renouvellement de sa politique, et de son plan d’action 2022-2024, Municipalité Amie des Aînés.

Diverses consultations auprès des aînés ont permis d’établir de nouveaux constats et de rédiger un plan d’action répondant aux attentes et aux besoins de cette population. Les résultats du plan d’action se concrétiseront dans différentes sphères de la vie en société. Par exemple, la Ville entend développer des partenariats avec des formateurs spécialisés et veiller à ce que l’offre d’activités réponde mieux aux besoins des aînés. Elle veillera aussi à documenter leurs besoins en logement.

Pour le maire, Mathieu Lapointe, l’objectif est d’offrir une qualité de vie à nos aînés par une diversité de services et par leur participation active au sein de notre communauté. « L’écoute, la mobilisation et l’implication des citoyens, dans une communauté unie, authentique et active, représentent des valeurs incontournables pour l’équipe municipale, dit-il. »

En renouvelant cette politique, Carleton-sur-Mer est fière d’assumer son leadership au sein de la démarche provinciale Municipalités amies des aînés (MADA), qui vise à encourager le vieillissement actif des aînés au sein de leur communauté. Ainsi, depuis 2013, différentes actions ont été réalisées. Notamment, des démarches auprès du ministère des Transports ont permis de réduire la vitesse de circulation sur la route 132 à certains endroits et d’implanter une traverse piétonnière à l’intersection de la rue Tracadièche et du boulevard Perron, afin d’améliorer le sentiment de sécurité des aînés. L’aménagement du parc La Grande-Envolée figure également au tableau des réalisations, tout comme l’offre d’une programmation d’activités diversifiées pour les aînés et la concrétisation du projet de logements communautaires priorisant cette clientèle.

La Ville tient à souligner l’implication des membres du comité de suivi qui ont fait la différence tout au long de la démarche : Danièle Falardeau, Natalie Vertefeuille, Julie Bergeron, Laurie Gallagher, Henri Hotton, Régent Leblanc, Michel Briand, David Landry, David Sylvestre, Pascal Alain et Johanne Poulin, chargée de projet à la MRC Avignon. Le comité entreprend maintenant la mise en œuvre de ce plan d’action au bénéfice du milieu.

Pascal Alain, directeur loisirs, culture et vie communautaire

Photographies : Magali Deslauriers

Tous les candidats ont été élus sans opposition à l’issue de la période de mise en candidature. Un deuxième mandat débute donc pour la maire, Mathieu Lapointe, qui avait réalisé auparavant un mandat de conseiller. La conseillère Denise Leblanc et le conseiller Alain Turcotte entament également un second mandat. Jean-Simon Landry entreprend quant à lui son troisième mandat au siège no 3. Trois nouvelles personnes se joignent aux élus municipaux : Sylvie Tremblay, Esteban Figueroa et Régis Leblanc.

La Ville souhaite une bonne continuité  aux personnes qui ont dignement représenté la communauté dans les dernières années et qui se tournent vers de nouveaux projets de vie : Marie-Hélène Richard, David Landry et Steven Parent. Nous sommes heureux d’avoir pu compter sur votre engagement à représenter les citoyens et citoyennes. Soulignons notamment la participation de M. Parent qui s’est impliqué durant deux mandats, dont un à titre de maire suppléant, durant les quatre dernières années.

Antoine Audet, directeur général et greffier

L’usage des toilettes est la plus grande source de consommation d’eau de votre résidence. Bonne nouvelle! Les toilettes représentent aussi un excellent potentiel d’économie d’eau.

Remplacez votre toilette standard par une toilette certifiée WaterSense ou à faible débit. Un ménage de 4 personnes peut économiser plus de 60 000 litres par année avec ce petit geste.

Réparer une toilette qui fuit empêchera de gaspiller de gros volumes d’eau. Une toilette qui fuit consomme jusqu’à 550 litres d’eau potable par jour, ce qui peut doubler votre consommation d’eau journalière.

Faites le test pour calculer votre consommation d’eau potable : https://monempreintebleue.ca/

Votre toilette fuit-elle?

Certaines fuites font un bruit qui peut être perçu, mais d’autres sont silencieuses.

Pour déterminer si une toilette coule, versez deux ou trois gouttes de colorant alimentaire dans le réservoir. Si l’eau de la cuvette devient colorée après quelques minutes, c’est qu’il y a une fuite. La plupart du temps, une fuite peut être réparée à faible coût.

Quelques chiffres qui parlent gros

  • Débit d’une toilette standard : 13,25 L/chasse;
  • Débit d’une toilette à faible débit : 4,8 L/chasse;
  • On va aux toilettes environ 5 fois par jour;
  • Volume d’une piscine olympique : 2500 m³;
  • Notre calcul : (13,25 – 4,8) L/chasse x 5 chasses/jour x 365 jours x 8,3 M d’habitants) ≈ 127 996 375 m3/an;
  • 127 996 375 ÷ 2500 m³ ≈ 51 199 piscines olympiques.

Source : Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation.

L’économie d’eau potable fait partie du chantier Empreinte environnementale de la planification stratégique municipale 2019-2024.

Érosion et sédimentation, deux phénomènes complémentaires

En zone côtière, l’érosion domine naturellement dans les endroits exposés comme les falaises. Les sédiments, eux, se déposent dans les milieux calmes comme les baies abritées. Généralement, ces phénomènes tendent à s’équilibrer l’un et l’autre. Ils modifient le profil des côtes gaspésiennes au fil du temps. À certains endroits, ces changements peuvent se produire rapidement, notamment lors de tempêtes extrêmes.

Augmentation de l’érosion côtière due à l’humain

Certaines activités humaines, comme la construction de murets ou la récolte du bois de mer, favorisent l’érosion. Les changements climatiques :

  • provoquent la hausse du niveau des mers;
  • amplifient l’intensité des tempêtes;
  • accentuent les redoux hivernaux;
  • diminuent le couvert de glace.

Ces quatre conséquences augmentent aussi l’érosion. Les sédiments (sable, gravier, cailloux) sont alors amenés vers le large au lieu de se déposer sur les côtes.

Visualiser les mouvements de la côte grâce à des photos aériennes

Ainsi, à l’échelle humaine, la côte se transforme. Le comité ZIP Gaspésie a cartographié l’évolution du trait de côte dans les municipalités de Carleton-sur-Mer (banc de Saint-Omer), Maria (parc du Vieux-Quai), New Richmond (rue de la Plage) et Bonaventure (secteur de la Piouke). Ces cartes, publiées à https://adaptationcotierebdc.com/, permettent de visualiser les modifications survenues entre 1963 et 2016.

Planifier le développement territorial prudemment pour diminuer la vulnérabilité

Dans le contexte où l’on cherche de plus en plus à bâtir des infrastructures le long des côtes malgré les risques d’érosion, le ministère de la Sécurité publique impose un cadre normatif aux municipalités. Celles-ci intègrent ces normes dans les schémas d’aménagement et les règlements d’urbanisme. Ces balises permettent de définir les zones d’érosion et de limiter les activités qui y sont permises. Il reste que, la meilleure façon de se protéger contre l’érosion côtière, c’est d’éloigner le plus possible les infrastructures du rivage.

Projet bénéficiant d’une aide financière du gouvernement du Québec tirée du programme Climat municipalités – Phase 2 et qui rejoint les objectifs du Plan pour une économie verte 2030.