En tant que citoyen, vous pouvez signaler la présence d’oiseaux sauvages morts ou moribonds en communiquant avec le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) au 1 877 346-6763.

En tant que propriétaire d’une basse-cour ou d’un petit élevage d’oiseaux, sachez  que le risque pour vos oiseaux de contracter le virus de l’influenza aviaire est actuellement élevé. Les mesures de prévention et de biosécurité doivent être appliquées rigoureusement en tout temps et le niveau de vigilance doit demeurer élevé. Les exigences prévues au Règlement sur les conditions de salubrité des lieux de garde d’oiseaux captifs doivent être respectées pour éviter les contacts avec les oiseaux sauvages :

  • Les oiseaux domestiques doivent être gardés dans un bâtiment ou un espace clôturé.
  • Les mangeoires et les abreuvoirs de vos oiseaux doivent être protégés.
  • L’eau de surface ne doit être utilisée ni pour abreuver les oiseaux ni pour nettoyer le matériel et les bâtiments.
  • Il est interdit de garder à la même adresse civique des oiseaux domestiques et des palmipèdes migrateurs.

Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) recommande également aux propriétaires d’oiseaux d’élevage :

  • D’éviter tout contact direct ou indirect avec les oiseaux sauvages en confinant les oiseaux d’élevage.
  • D’éviter d’attirer les oiseaux sauvages par la présence de nourriture, de plans d’eau ou d’accumulation d’eau au sol à proximité de l’enclos.
  • De nettoyer et désinfecter tout véhicule ou équipement avant chaque entrée ou sortie du lieu d’élevage.
  • De limiter l’accès à la ferme aux personnes autorisées seulement et de s’assurer que ces personnes respectent les mesures de biosécurité en vigueur (tenir un registre des visiteurs, si possible).
  • D’éviter tout contact entre les élevages de basse-cour et les élevages commerciaux (ex. : partage de personnel).

En cas de mortalités inhabituelles ou de signes de la maladie, consultez un médecin vétérinaire. Si vous ne parvenez pas à en joindre un, composez le 450 768-6763 pour joindre l’Agence canadienne d’inspection des aliments et signaler des oiseaux malades ou le 1 844 ANIMAUX pour communiquer avec la Centrale de signalement du MAPAQ.

L’équipe du Festival international du journalisme de Carleton-sur-Mer (FIJC) a dévoilé le 29 août dernier les grandes lignes de sa programmation.  Le Festival constitue un lieu d’échanges et de partage, un forum citoyen convivial sur l’information et sur l’état du monde, hors des grands centres habituels. L’événement se tiendra du 18 au 21 mai 2023 avec 4 jours de débats, de théâtre, de cinéma et d’expositions. Il rassemblera des journalistes canadiens et étrangers, des directions de médias, du personnel enseignant, la communauté étudiante et le grand public. C’est le journaliste Jean-François Lépine qui parraine la première année de ce nouveau festival.

Sur la photo : Bertin Leblanc, directeur général; Robert Nadeau, président et Jean-François Lépine, parrain.

Fière membre des Fleurons du Québec, Carleton-sur-Mer renouvelle peu à peu son aménagement paysager afin d’inclure plus d’arbustes, de diminuer les arrosages et d’adopter des végétaux adaptés, comme le foin de mer et le rosier sauvage. Notamment, plus de 500 végétaux ont été plantés sur le banc de Carleton et le parterre de l’hôtel de ville a été renouvelé.

De plus, comme chaque année, plusieurs centaines d’arbres ont été plantés sur le camping, dont 25 en collaboration avec le festival La Virée Trad.

Le comité consultatif d’urbanisme (CCU) a pour mandat de donner des avis sur les demandes en lien avec l’urbanisme et l’aménagement du territoire. Ses recommandations et avis permettent au conseil municipal de profiter de la contribution d’élus.es et de citoyens.nes, pour guider, orienter et soutenir les actions en matière d’urbanisme. Ces gens peuvent faire valoir leurs expériences vécues dans la ville et leurs préoccupations concernant l’aménagement du territoire municipal.  Le mandat des membres dure deux ans et une allocation est remise aux membres résidents pour leur participation aux rencontres.

Composition du comité

  • 5 résidents, choisis par le conseil municipal;
  • 2 membres du conseil municipal;
  • 1 cadre municipal.

Toute personne intéressée à joindre le CCU doit faire parvenir une lettre d’intérêt expliquant ses motivations à l’adresse urbanisme@carletonsurmer.com.

 

Il s’agit principalement de laisser l’environnement le plus possible tel qu’il était avant notre présence.

7 principes du sans trace

1. Se préparer et prévoir (ex. : connaître les règlements et particularités du lieu, remballer les restes de nourriture, réduire les déchets);

2. Utiliser les surfaces durables (ex. : utiliser les sentiers de randonnée et sites de camping existants);

3. Gérer adéquatement les déchets (ex. : remporter ce qu’on a apporté, incluant les papiers de toilette et mouchoirs, ramasser les excréments de son chien);

4. Laisser intact ce que l’on trouve (laisser les pierres, bois, plantes et objets naturels tels que trouvés);

5. Réduire l’impact des feux (ex. : utiliser les emplacements qui ont déjà servi, utiliser un réchaud de petite taille);

6. Respecter la vie sauvage (ex. : être maître de ses animaux domestiques ou les laisser à la maison);

7. Respecter les autres usagers (ex. : baisser le ton, demeurer courtois).

En savoir plus : https://www.sanstrace.ca/principes

La Ville offre une aide spécifique est un soutien non récurrent accordé  à un organisme reconnu, pour la réalisation d’un projet en loisir, sport ou plein air, qui ne fait pas partie de ses activités régulières ou pour l’acquisition d’équipements nécessaires à la tenue de ses activités. Un organisme peut en faire la demande une fois par année.

On demande de présenter une demande globale qui inclut tous les aspects du projet, en remplissant le formulaire en ligne.

Date limite pour déposer une demande : 1er septembre à 16 h de l’année précédant la réalisation du projet.

Vous pouvez consulter la Politique de reconnaissance et de soutien aux organismes du milieu pour en savoir plus sur cette aide financière. Les autres programmes d’aide aux organismes y sont également présentés.

Information : Philippe Patenaude, loisir@carletonsurmer.com.

Carleton-sur-Mer lance officiellement son Programme d’aide aux nouveaux logements. Elle a adopté un règlement d’emprunt de 450 000 $ afin de stimuler l’ajout de logements sur le territoire municipal.

En effet, les besoins locaux représentent de 20 à 35 logements sur un horizon de 3 ans, selon le Rapport d’étude de marché sur les besoins immobiliers réalisé par Raymond Chabot Grant Thornton pour la MRC Avignon en 2021. Le maire suppléant, Jean-Simon Landry explique que, dans un contexte où le taux d’inoccupation des logements est pratiquement nul, la Ville souhaite favoriser l’augmentation de places disponibles pour loger, par exemple, les étudiants, les travailleurs saisonniers et les nouveaux arrivants.

Le programme offre deux types de financement :

  • 15 000 $ par nouvelle porte construite;
  • 5 000 $ par porte de nouveau logement aménagé dans des bâtiments existants.

Les logements visés par ce programme d’aide seront assujettis à certaines restrictions, notamment, en matière de coût de loyer et ils ne pourront pas servir à la location à court terme.

Cette démarche correspond aux orientations de la planification stratégique, qui positionne Carleton-sur-Mer comme une communauté authentique et active vivant à l’année une diversité d’expériences entre mer et montagne.

Les nouveaux 3 ½, 4 ½ ou 5 ½ dans des duplex, triplex, maison en rangée ou multilogements pourront bénéficier d’une aide financière à la construction.

L’unité 30 Chaleur de la Garde côtière auxiliaire canadienne, en collaboration avec la Ville de Carleton-sur-Mer, a installé une station de prêt gratuit de vestes de flottaison individuelle (VFI) pour les enfants à la plage municipale. 

Au total, neuf VFI sont offerts en libre-service aux enfants qui en requièrent pour se baigner ou pour monter sur une embarcation. Les parents n’ont qu’à remplir une feuille avec leurs coordonnées, à choisir la bonne taille pour leur enfant et veiller à ce que le VFI soit ajusté selon les indications sur place.

« Ce projet pilote s’inspire du programme Kids don’t float (les enfants ne flottent pas) qui existe depuis plusieurs années au Canada, explique Robert Leblanc de la Garde côtière auxiliaire canadienne et instigateur du projet. C’est une première initiative dans l’est du pays, précise-t-il. » Le maire suppléant à Carleton-sur-Mer, Jean-Simon Landry, mentionne que la Ville a embarqué avec enthousiasme dans cette initiative qui s’inscrit parfaitement dans les orientations municipales pour améliorer la sécurité nautique.

Le programme Kids dont float a été instauré en 1996 en Alaska, avec l’installation de 15 stations de prêt de VFI. Une centaine de stations ont été déployées par la suite au Canada, principalement dans l’ouest du pays. Au Québec, les enfants entre zéro et 5 ans sont les plus à risque de noyade avec un taux d’environ 1/100 000 habitants par année. Dans tous les cas de noyades répertoriés, 69 % ne portaient pas de VFI.

L’implantation d’un tel service permet de sensibiliser et d’informer la population sur les saines habitudes à adopter en milieu aquatique.

Dans le but d’offrir une expérience client toujours à la hauteur des attentes de ses citoyens et de ses visiteurs, la Ville de Carleton-sur-Mer souhaite connaître votre opinion sur les installations et les activités récréotouristiques locales. Merci de contribuer à notre démarche en remplissant ce sondage au meilleur de vos connaissances!

Mise à jour : Le sondage s’est terminé le 23 septembre.